Remarquable

Fellini Satyricon (Satyricon)

Name: Fellini Satyricon
Director: Federico Fellini
Genre: Drame poétique
Duration: 128 min.

It. 1968. Drame poétique de Federico Fellini avec Martin Potter, Hiram Keller, Max Born. Dans la Rome antique, deux jeunes gens connaissent diverses aventures. Adaptation très personnelle d'une oeuvre de Pétrone. Images fantastiques d'un baroquisme flamboyant. Construction épisodique. Interprétation soumise au style d'ensemble.

Fellini Satyricon (Satyricon)

13 ans +

It. 1968. Drame poétique de Federico Fellini avec Martin Potter, Hiram Keller, Max Born.

Dans la Rome antique, deux jeunes gens connaissent diverses aventures. Adaptation très personnelle d'une oeuvre de Pétrone. Images fantastiques d'un baroquisme flamboyant. Construction épisodique. Interprétation soumise au style d'ensemble.

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Genre :

Drame poétique

Année :

1968

Durée :

128 min.

Réalisation :

Federico Fellini

Scénario :

Federico Fellini
Bernardino Zapponi

Photographie :

Giuseppe Rotunno

Musique :

Nino Rota

Montage :

Ruggero Mastroianni

Pays :

Italie

Distributeur :

United Artists

Interprètes :

Martin Potter
Hiram Keller
Max Born
Salvo Randone
Mario Romagnoli
Magali Noël
Capucine
Alain Cuny

Deux jeunes Romains, Encolpe et Ascylte, se disputent la possession d'un esclave adolescent, Giton. Celui-ci accorde sa préférence à Ascylte et part avec lui. Après avoir assisté à un banquet extravagant offert par un riche affranchi, Encolpe est fait prisonnier par Lichas, pourvoyeur des plaisirs de l'empereur, et retrouve en captivité Ascylte et Giton. La chute de l'empereur amène leur libération; Encolpe et Ascylte connaissent alors diverses aventures. Ascylte y trouve la mort alors qu'Encolpe, frappé d'impuissance, s'efforce de retrouver sa virilité.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Fellini a adapté de façon très personnelle le roman fragmentaire de Pétrone et le résultat est un film exceptionnel, foisonnant d'images fantastiques aux couleurs sulfureuses. Une analogie évidente s'établit entre cette oeuvre et LA DOLCE VITA, ne serait-ce qu'en raison d'une construction épisodique et du choix des scènes. On sent qu'à travers une évocation visionnaire de l'antiquité et des moeurs païennes, c'est le monde moderne qui est visé par l'auteur. L'interprétation, comme le reste, est soumise au style baroque de Fellini.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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