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Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages

Name: Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages
Director: Michel Audiard
Genre: Comédie policière
Duration: 78 min.

Fr. 1968. Comédie policière de Michel Audiard avec Marlène Jobert, Françoise Rosay, Bernard Blier. La maîtresse d'un bandit fait appel à sa vieille tante pour faire rendre gorge à deux truands qui l'ont dépouillée. Parodie amusante de la série noire. Dialogue percutant. Interprètes de talent.

Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages (Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages)

Général

Fr. 1968. Comédie policière de Michel Audiard avec Marlène Jobert, Françoise Rosay, Bernard Blier.

La maîtresse d'un bandit fait appel à sa vieille tante pour faire rendre gorge à deux truands qui l'ont dépouillée. Parodie amusante de la série noire. Dialogue percutant. Interprètes de talent.

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Genre :

Comédie policière

Année :

1968

Durée :

78 min.

Réalisation :

Michel Audiard

Scénario :

Michel Audiard
Henri Viard
Jean-Marie Poiré

Photographie :

Georges Barsky

Musique :

Georges Van Parys
Stéphane Varègues

Montage :

Robert Isnardon
Monique Isnardon

Pays :

France

Distributeur :

Coppelia Olivi Musique inc.

Interprètes :

Marlène Jobert
Françoise Rosay
Bernard Blier
André Pousse
Paul Frankeur
Robert Dalban
Claude Rollet
Mario David
Robert Berri
Michel Charrel
Gérald Bruneau
Sylvain Levignac
Raoul Saint-Yves
Dominique Zardi
Jean Carmet
Michel Audiard

La jolie Rita est la maîtresse d'un truand, Fred l'Élégant. Elle s'entend avec Charles le Téméraire pour subtiliser à son amant le fruit d'un hold-up. Le coup fait, Charles refuse le partage avec Rita. Celle-ci fait alors appel à sa vieille tante Léontine, ancienne reine du milieu maintenant à sa retraite. Léontine prend l'affaire en main et vient à bout de Fred et de Charles, tout en trouvant moyen de marier sa nièce au neveu de Charles.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En passant pour la première fois à la mise en scène, Michel Audiard n'a rien perdu de sa verve de scénariste. Parodie évidente de la série noire, le film se poursuit à un rythme alerte avec force clins d'oeil au public et des trouvailles visuelles amusantes. Les personnages ne sont guère autre chose que des marionnettes, animées pourtant par des interprètes de talent qui font un sort à des répliques savoureuses.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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