Un Corps, une nuit (Summit)

Name: Corps, une nuit, Un
Director: Giorgio Bontempi
Genre: Drame psychologique
Duration: 85 min.

It. 1967. Drame psychologique de Giorgio Bontempi avec Gian Maria Volonté, Mireille Darc, Giampiero Albertini. La vie sentimentale et professionnelle d'un reporter chargé de couvrir les événements politiques en Europe. Aspects politiques mal amalgamés avec les éléments romanesques. Film long et terne. Personnages mal dessinés. Interprétation décevante.

Un Corps, une nuit (Summit)

13 ans +

It. 1967. Drame psychologique de Giorgio Bontempi avec Gian Maria Volonté, Mireille Darc, Giampiero Albertini.

La vie sentimentale et professionnelle d'un reporter chargé de couvrir les événements politiques en Europe. Aspects politiques mal amalgamés avec les éléments romanesques. Film long et terne. Personnages mal dessinés. Interprétation décevante.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1967

Durée :

85 min.

Réalisation :

Giorgio Bontempi

Pays :

Italie

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Gian Maria Volonté
Mireille Darc
Giampiero Albertini

Un reporter, Paolo, est chargé par son journal de couvrir les divers événements politiques en Europe. Il a eu une longue liaison avec un mannequin français, Annie, et, à l'occasion d'un reportage à Paris sur une conférence au sommet, il tente de renouer avec elle. Mais Annie entre-temps s'est éprise d'un étudiant allemand, Ulrich. Elle accepte pourtant de suivre Paolo dans un voyage a Berlin puis en Pologne. Elle le quitte cependant pendant le trajet et rejoint Ulrich pour partir avec lui aux Etats-Unis.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Journaliste lui-même, l'auteur de ce film n'est pas arrivé à dominer ce nouveau mode d'expression qu'est pour lui le cinéma. Les aspects politiques de son film restent plutôt flous et s'amalgament difficilement avec les éléments romanesques. Le résultat est une longue et ennuyeuse randonnée présentée en images aux couleurs ternes et peuplée de personnages à peine dessinés. Gian Maria Volonte charge à outrance dans le rôle du journaliste et Mireille Darc a rarement été aussi mal employée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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