Tarzan aide des journalistes à retrouver un enfant disparu dans la jungle. Rien de neuf. Mise en scène terne. Interprétation passive.
Cette nouvelle tarzannerie se contente de suivre les recettes éprouvées de la série sans s'efforcer de varier les ingrédients. On y découvre même des décors déjà utilisés dans le film précédent. Les péripéties manquent de mordant et Tarzan lui-même est presque réduit à un rôle passif. La photographie est souvent terne et le film est truffé de vues documentaires puisées ailleurs pour faire couleur locale. L'ensemble constitue une piètre adjonction aux aventures cinématographiquns de l'homme-singe.
Texte : Robert-Claude Bérubé