Un agent secret lutte contre des robots dirigés par un savant criminel. Infantilisme. Mise en scène terne. Interprétation artificielle.
Ces nouvelles aventures de Superargo tiennent beaucoup plus de l'univers des bandes dessinées que du cinéma. L'infantilisme les caractérise et la caméra, souvent, se contente de photographier l'action dans des couleurs très criardes. Il manque au réalisateur des dons d'invention et de fantaisie. Les interprètes, eux, jouent avec beaucoup de naturel... comme des robots.
Texte : Robert-Claude Bérubé