Remarquable

Pour messieurs seuls... (Pension Clausewitz)

Name: Pour messieurs seuls...
Director: Ralph Habib
Genre: Drame d'espionnage
Duration: 76 min.

All. 1967. Drame d'espionnage de Ralph Habib avec Wolfgang Kieling, Anna Gaël, Maria Brockheroff. À Berlin, une maison close est utilisée à des fins d'espionnage par des agents de l'Allemagne de l'Est. Scénario confus. Mise en scène brouillonne. Interprétation grotesque.

Pour messieurs seuls... (Pension Clausewitz)

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All. 1967. Drame d'espionnage de Ralph Habib avec Wolfgang Kieling, Anna Gaël, Maria Brockheroff.

À Berlin, une maison close est utilisée à des fins d'espionnage par des agents de l'Allemagne de l'Est. Scénario confus. Mise en scène brouillonne. Interprétation grotesque.

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Genre :

Drame d'espionnage

Année :

1967

Durée :

76 min.

Réalisation :

Ralph Habib

Scénario :

Nero Brandenburg
Franz Baake

Photographie :

Wolfgang Bellenbaum

Musique :

Horst A. Hass

Montage :

Edith Dagan

Pays :

Allemagne

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Wolfgang Kieling
Anna Gaël
Maria Brockheroff
Friedrich Schoenfelder
Herbert Fux
Rolf Eden
Maria Vincent
Doris Bierett
Klaus Dahlen
Wilhelm von Homburg
Michael Miller
Ralf Gregan
Michael Symo

Un individu louche, Hans Stemmke, prend en main l'organisation d'une maison close à Berlin-Ouest. Un inconnu qui lui fournit des filles se révèle bientôt être un agent de l'Allemagne de l'Est et il force Stemmke à faire servir son établissement à des fins d'espionnage. Stemmke est chargé d'attirer chez lui un savant éminent pour qu'on lui vole des documents. Des agents de l'Ouest se mettent de la partie, la machination échoue et Stemmke est emprisonné.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ralph Habib a connu des meilleurs jours et il ne semble pas d'ailleurs avoir fourni des efforts d'invention particuliers pour illustrer cette vague histoire d'espionnage servant de prétexte à diverses scènes érotiques. La confusion règne d'un bout à l'autre, tant dans le scénario que dans la mise en scène et le montage. Quelques détails maladroitement insérés ici et là laissent soupçonner une volonté de parodie qui n'est jamais efficace. L'interprétation est grotesque.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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