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Pas de roses pour OSS 117 (Niente Rose per OSS 117)

Name: Pas de roses pour OSS 117
Director: Renzo Cerrato, Jean-Pierre Desagnat
Genre: Drame d'espionnage
Duration: 104 min.

It. 1967. Drame d'espionnage de Renzo Cerrato, Jean-Pierre Desagnat avec John Gavin, Margaret Lee, Curd Jurgens. Un agent secret emprunte l'identité d'un bandit pour démasquer les auteurs d'assassinats politiques. Conventions et invraisemblances. Déroulement alerte. Interprétation dégagée.

Pas de roses pour OSS 117 (Niente Rose per OSS 117)

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It. 1967. Drame d'espionnage de Renzo Cerrato, Jean-Pierre Desagnat avec John Gavin, Margaret Lee, Curd Jurgens.

Un agent secret emprunte l'identité d'un bandit pour démasquer les auteurs d'assassinats politiques. Conventions et invraisemblances. Déroulement alerte. Interprétation dégagée.

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Genre :

Drame d'espionnage

Année :

1967

Durée :

104 min.

Réalisation :

Renzo Cerrato
Jean-Pierre Desagnat

Scénario :

D'après le roman de Josette Bruce
D'après l'oeuvre de Jean Bruce

Photographie :

Tonino Delli Colli

Musique :

Piero Piccioni

Montage :

Jolanda Benvenuti

Pays :

Italie
France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

John Gavin
Margaret Lee
Curd Jürgens
Luciana Paluzzi
Robert Hossein
Rosalba Neri
George Eastman
Guido Alberti
Piero Lulli
Renato Baldini
Luciano Bonanni
Romano Moschini
Raf Baldassarre
Seyna Seyn

Après une série d'assassinats politiques attribuables à une organisation criminelle, l'agent secret Hubert Bonnisseur de la Bath (OSS 117) emprunte l'identité d'un bandit célèbre et réussit à s'engager dans la bande. Chargé d'assassiner un émissaire des Nations Unies dans un pays du Moyen-Orient, Hubert déjoue les plans de ses employeurs en dépit des précautions prises pour s'assurer sa fidélité. Il contribue ensuite à la destruction du quartier-général de l'organisation.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Maintenant qu'il a acquis les droits d'adaptation des aventures d'OSS 117, André Hunebelle en confie la réalisation à d'autres tout en supervisant lui-même la production. Le présent film est construit sur un bon nombre de conventions et d'invraisemblances, mais il a tout de même l'avantage de se dérouler de façon assez alerte et de ne pas trop se prendre au sérieux. John Gavin se glisse avec aisance dans la peau du héros et Curd Jurgens se permet le plaisir d'une caricature.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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