Remarquable

Les Arnaud

Name: Arnaud, Les
Director: Léo Joannon
Genre: Drame psychologique
Duration: 92 min.

Fr. 1967. Drame psychologique de Léo Joannon avec Bourvil, Salvatore Adamo, Christine Delaroche. Un juge protège un étudiant en droit qui a tué un maître-chanteur en légitime défense. Histoire bien racontée. Des invraisemblances. Mise en scène valable. Interprétation sympathique.

Les Arnaud (Les Arnaud)

Général

Fr. 1967. Drame psychologique de Léo Joannon avec Bourvil, Salvatore Adamo, Christine Delaroche.

Un juge protège un étudiant en droit qui a tué un maître-chanteur en légitime défense. Histoire bien racontée. Des invraisemblances. Mise en scène valable. Interprétation sympathique.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1967

Durée :

92 min.

Réalisation :

Léo Joannon

Scénario :

Léo Joannon
Jacques Robert

Photographie :

Willy Faktorovitch

Musique :

Franck Pourcel
Salvatore Adamo

Montage :

Jean Feyte

Pays :

France
Italie

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Bourvil
Salvatore Adamo
Christine Delaroche
Marcelle Ranson
Michel de Ré
Suzanne Courtal
Gisèle Grandpré
Alain Doutey
Gérard Croce
Xavier Fonty
Martial Rèbe
Paul Trajan

André Arnaud, étudiant en droit, est amené à tuer, en désespoir de cause, un ignoble maître-chanteur. Le juge Henri Arnaud, son homonyme, qui s'est pris d'affection pour le jeune homme, découvre la vérité. Cependant, sûr des bons sentiments de son protégé, il cache ce qu'il sait pour lui donner la chance de terminer ses études. Il va même jusqu'à faire d'André son fils, après avoir donné sa démission à la cour. Ensemble ils iront se livrer plus tard à la justice, confiants en la compréhension des juges.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'auteur de ce film sait raconter une histoire dans la tradition du cinéma populaire. L'introduction est assez longuette, l'intrigue frise souvent l'invraisemblance et se situe à la limite du mélodrame, mais le film parvient à soutenir l'intérêt du début à la fin. Si la mise en scène est dénuée d'originalité, les images et les couleurs sont néanmoins belles. Le jeune chanteur Salvatore Adamo surprend agréablement dans un rôle fait sur mesure, tandis que Bourvil est égal à lui-même.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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