La femme d'un agent secret assassiné poursuit l'enquête de son mari. Présentation ironique du sujet. Imagination fertile. Mise en scène désinvolte. J. Seberg charmante.
Chabrol, ici, ironise gentiment sur les "james-bonderies" en présentant sans avoir l'air d'y croire les exploits de ses héros. L'humour est partout présent dans ce film drôlement insolite, l'imagination toujours fertile et le dialogue souvent spirituel. La mise en scène, désinvolte, est celle d'un homme de métier. Une Jean Seberg pétillante et impertinenteà souhait est très bien soutenue par ses partenaires,
Texte : Robert-Claude Bérubé