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L'Homme qui ment

Name: Homme qui ment, L'
Director: Alain Robbe-Grillet
Genre: Drame psychologique
Duration: 97 min.

Fr. 1967. Drame psychologique de Alain Robbe-Grillet avec Jean-Louis Trintignant, Sylvie Bréal, Dominique Prado. Un homme raconte ses exploits, le plus souvent imaginaires, dans la Résistance. Partage difficile du rêve et de la réalité. Jeu intellectuel. Photographie efficace. Interprétation intéressante de J.-L. Trintignant.

L'Homme qui ment (L'Homme qui ment)

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Fr. 1967. Drame psychologique de Alain Robbe-Grillet avec Jean-Louis Trintignant, Sylvie Bréal, Dominique Prado.

Un homme raconte ses exploits, le plus souvent imaginaires, dans la Résistance. Partage difficile du rêve et de la réalité. Jeu intellectuel. Photographie efficace. Interprétation intéressante de J.-L. Trintignant.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1967

Durée :

97 min.

Réalisation :

Alain Robbe-Grillet

Scénario :

Alain Robbe-Grillet

Photographie :

Igor Luther

Musique :

Michel Fano

Montage :

Bob Wade

Pays :

France
Italie
Tchécoslovaquie

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Jean-Louis Trintignant
Sylvie Bréal
Dominique Prado
Catherine Robbe-Grillet
Dusan Blaskovic
Sylvie Turbová
Ivan Mistrik
Zuzana Kocúriková
Jozef Kroner
Jozef Cierny
Julius Vasek

Récompenses

Un homme qui dit se nommer Boris Varissa arrive dans un petit village où l'on honore la mémoire d'un héros de la Résistance, Jean Robin. Il se présente comme un compagnon de lutte de Robin et fait la connaissance de la soeur et de la femme du disparu. Il entreprend de faire leur conquête en leur racontant ses exploits, le plus souvent imaginaires, avec des détails qui se contredisent. Survient Jean Robin qui abat Boris Varissa, mais celui-ci, laissé pour mort, se lève et recommence à raconter son histoire.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En présentant son histoire comme le récit d'un mythomane, Alain Robbe-Grillet s'est donné beau jeu pour jongler avec les apparences. L'intrigue se détruit au fur et à mesure qu'elle progresse au point de devenir incompréhensible, d'autant plus que l'auteur ne fournit aucune clé et que les points de repère sont fluctuants comme le reste. Le travail de caméra est efficace et la mise en scène très correcte dans l'ensemble. Jean-Louis Trintignant réussit à conférer une certaine réalité à un personnage pourtant très fuyant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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