J'ai même rencontré des tziganes heureux (Skupljaci perja)

Name: J'ai même rencontré des tziganes heureux
Director: Aleksandar Petrovic
Genre: Drame social
Duration: 86 min.

Youg. 1967. Drame social de Aleksandar Petrovic avec Bekim Fehmiu, Bata Zivojinovic, Gordena Jovanovic. Malheureux en ménage, un tzigane épouse une autre femme, puis finit par commettre un meurtre. Intrigue assez lâche prétexte à brosser un tableau de moeurs pittoresque. Ensemble vivant et empreint de beaucoup d'humanité. Images admirables. Jeu naturel des interprètes.

J'ai même rencontré des tziganes heureux (Skupljaci perja)

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Youg. 1967. Drame social de Aleksandar Petrovic avec Bekim Fehmiu, Bata Zivojinovic, Gordena Jovanovic.

Malheureux en ménage, un tzigane épouse une autre femme, puis finit par commettre un meurtre. Intrigue assez lâche prétexte à brosser un tableau de moeurs pittoresque. Ensemble vivant et empreint de beaucoup d'humanité. Images admirables. Jeu naturel des interprètes.

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Genre :

Drame social

Année :

1967

Durée :

86 min.

Réalisation :

Aleksandar Petrovic

Pays :

Yougoslavie

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Bekim Fehmiu
Bata Zivojinovic
Gordena Jovanovic

Un tzigane du nord de la Yougoslavie, Bora, fait le commerce des plumes. Il vit avec une femme plus âgée que lui et connaît des revers de fortune fréquents. S'étant épris de Tisa, la belle-fille d'un concurrent, il l'enlève, l'épouse et l'installe comme deuxième femme dans son foyer. Mais Tisa fait une fugue à Belgrade et, à son retour, est reprise par son beau-père. Enragé, Bora s'attaque à ce dernier et le tue. Puis il disparaît pour échapper aux recherches de la police.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Sous un titre antithétique, le réalisateur s'attache à dépeindre l'existence difficile des tziganes qui vivent en marge de la société en Yougoslavie comme ailleurs. L'intrigue, assez lâche, n'est là que pour servir à brosser un tableau de moeurs pittoresque qui s'éloigne pourtant de l'image romantique que l'on se fait des tziganes. Tout cela est très vivant et se présente en des images admirables avec des interprètes d'un grand naturel.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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