Remarquable

Indomptable Angélique

Name: Indomptable Angélique
Director: Bernard Borderie
Genre: Mélodrame
Duration: 83 min.

Fr. 1967. Mélodrame de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein, Roger Pigaut. À la recherche de son mari disparu, une comtesse est enlevée par des pirates et vendue comme esclave. Quatrième film de la série des "Angélique". Intrigue feuilletonesque. Mise en scène de métier. Un certain rythme. Jeu artificiel de M. Mercier.

Indomptable Angélique (Indomptable Angélique)

Général

Fr. 1967. Mélodrame de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein, Roger Pigaut.

À la recherche de son mari disparu, une comtesse est enlevée par des pirates et vendue comme esclave. Quatrième film de la série des "Angélique". Intrigue feuilletonesque. Mise en scène de métier. Un certain rythme. Jeu artificiel de M. Mercier.

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Genre :

Mélodrame

Année :

1967

Durée :

83 min.

Réalisation :

Bernard Borderie

Scénario :

Bernard Borderie
Francis Cosne
Pascal Jardin
D'après le roman de Anne Golon
D'après le roman de Serge Golon

Photographie :

Henri Persin

Musique :

Michel Magne

Montage :

Christian Gaudin

Pays :

France
Allemagne
Italie

Distributeur :

Alliance Vivafilm

Interprètes :

Michèle Mercier
Robert Hossein
Roger Pigaut
Bruno Dietrich
Christian Rode
Ettore Manni
Pasquale Martino
Sieghardt Rupp
Poldo Bendandi

Recherchant son mari disparu, Angélique s'embarque sur une galère commandée par Vivonne, frère de Madame de Montespan. Le navire est attaqué et Angélique se jette à la mer pour être peu après recueillie par un galion que commande un certain Escrainville. Ce dernier, n'ayant pu la séduire, la vend gros prix au marché aux esclaves de Candie. L'acheteur, mandaté par son mari Joffrey de Peyrac, la ramène à ce dernier. Mais le bonheur d'Angélique est de courte durée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec ce quatrième film de la série, les aventures d'Angélique donnent résolument dans le roman-feuilleton à bon marché. Le réalisateur, qui a tourné son film dans les studios de Cinecitta à Rome, adopte sans sourciller les pires clichés des productions italiennes d'aventures et de piraterie. Les images sont au point cependant et l'ensemble ne manque pas d'un certain rythme, mais tout cela fait terriblement superficiel et puéril. Michèle Mercier a un jeu de plus en plus artificiel.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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