Remarquable

Il ne faut pas mourir pour ça

Name: Il ne faut pas mourir pour ça
Director: Jean-Pierre Lefebvre
Genre: Comédie dramatique
Duration: 75 min.

Can. 1967. Comédie dramatique de Jean-Pierre Lefebvre avec Marcel Sabourin, Suzanne Grossman, Claudine Monfette (Mouffe). Une journée dans la vie de bohème d'un doux excentrique. Atmosphère habilement créée. Mise en scène soignée. Nombreuses touches insolites. M. Sabourin fantaisiste et sensible. (sortie en salle: 21 novembre 2007)

Il ne faut pas mourir pour ça (Il ne faut pas mourir pour ça)

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Can. 1967. Comédie dramatique de Jean-Pierre Lefebvre avec Marcel Sabourin, Suzanne Grossman, Claudine Monfette (Mouffe).

Une journée dans la vie de bohème d'un doux excentrique. Atmosphère habilement créée. Mise en scène soignée. Nombreuses touches insolites. M. Sabourin fantaisiste et sensible. (sortie en salle: 21 novembre 2007)

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1967

Durée :

75 min.

Réalisation :

Jean-Pierre Lefebvre

Scénario :

Jean-Pierre Lefebvre
Marcel Sabourin

Photographie :

Jacques Leduc

Musique :

Andrée Paul

Montage :

Marguerite Duparc

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

n/d

Producteurs :

Interprètes :

Marcel Sabourin
Suzanne Grossman
Claudine Monfette (Mouffe)
Denise Morelle
Monique Champagne

Abel est un doux excentrique qui vit au jour le jour une vie de bohème. Un certain lundi, il visite à l'hôpital sa mère gravement malade et apprend là que son père, rendu au Brésil, lui fait don d'une somme importante. Un peu plus tard, il retrouve par hasard une ancienne maîtresse, Mary, qui doit quitter Montréal pour aller se marier à Paris. Il retourne enfin à son appartement où l'attend une jeune amie, Madeleine. Un médecin lui téléphone pour lui apprendre la mort de sa mère.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le scénario est composé d'incidents sans suite et s'attache beaucoup plus à des états d'âme qu'à une intrigue proprement dite. La mise en scène témoigne d'un contrôle très strict des éléments de l'image et se déroule à un rythme lent. Commencé sur un ton ironique et désinvolte, le film se teinte bientôt de nuances douces-amères et se termine en pleine mélancolie. Ce changement se produit avec une habileté qui manifeste un réel talent dans la création d'atmosphère. Marcel Sabourin se montre à la fois fantaisiste et sensible dans le rôle-pivot d'Abel.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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