Entre le point de départ conventionnel et la conclusion plutôt arbitraire, les auteurs ont jeté en vrac divers rebondissements qui ne conduisent nulle part mais occupent le temps de projection, comptant sur le jeu désinvolte de Constantine pour maintenir l'intérêt du spectateur. Le calcul n'est pas tellement mauvais, d'autant qu'il se double d'une mise en scène assez habile, mais il reste que le film ne présente rien de neuf et se contente de ressasser les clichés du genre.
Texte : Robert-Claude Bérubé