Remarquable

Au pan coupé

Name: Au pan coupé
Director: Guy Gilles
Genre: Drame sentimental
Duration: 80 min.

Fr. 1967. Drame sentimental de Guy Gilles avec Macha Méril, Patrick Jouané, Bernard Verley. Une jeune fille de milieu aisé a une brève liaison avec un ancien délinquant. Essai poétique sans souci de dramatisation. Recherche de style. Un peu de prétention. Interprétation intelligente et sensible de M. Méril.

Au pan coupé (Au pan coupé)

Général

Fr. 1967. Drame sentimental de Guy Gilles avec Macha Méril, Patrick Jouané, Bernard Verley.

Une jeune fille de milieu aisé a une brève liaison avec un ancien délinquant. Essai poétique sans souci de dramatisation. Recherche de style. Un peu de prétention. Interprétation intelligente et sensible de M. Méril.

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Genre :

Drame sentimental

Année :

1967

Durée :

80 min.

Réalisation :

Guy Gilles

Scénario :

Guy Gilles

Photographie :

Willy Kurant
Jean-Marc Ripert

Musique :

Jean-Pierre Stora

Montage :

Jean-Pierre Desfosse

Pays :

France

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Macha Méril
Patrick Jouané
Bernard Verley
Frédéric Ditis
Lili Bontemps
Élina Labourdette
Orane Demazis
Paula Valmond
Yvan Lagrange
Jean-Pierre Miesch

Une jeune fille de milieu aisé, Jeanne, a fait la connaissance d'un ancien délinquant, Jean, maintenant ouvrier, et a eu avec lui une brève liaison. Jean est parti un jour à l'aventure et est mort sans que Jeanne l'apprenne. Celle-ci attend son retour et, au hasard de ses promenades, elle évoque en esprit les souvenirs de leur histoire d'amour.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le jeune metteur en scène Guy Gilles a manifestement voulu réaliser là un essai poétique sans souci de dramatisation ou d'intrigue. Son film est fait de recherches de style où se ressent particulièrement l'influence de Robert Bresson. Même si le sujet s'avère un peu mince pour un long métrage, la mise en images est belle dans une alternance entre le noir et blanc et la couleur pour bien séparer le présent mélancolique des souvenirs heureux du passé. L'ensemble n'est pas dépourvu de préciosité ou de prétention, mais s'avère somme toute sympathique, soutenu qu'il est par l'interprétation intelligente et sensible de Macha Méril.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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