Un quadragénaire se laisse envoûter par une call-girl qui l'exploite. Morne et ennuyeux. Réalisation banale. Interprétation pauvre.
Cette histoire usée de la passion d'un quadragénaire pour une adolescente perverse se fait vite répétitive et s'avère en fin de compte morne et ennuyeuse. Telles que présentées dans une mise en scène appliquée mais peu inventive, les réactions des personnages manquent de vraisemblance. La photographie joue continuellement dans des tons d'un gris sale et les interprètes ne manifestent aucune conviction.
Texte : Robert-Claude Bérubé