Teshigahara, après LA FEMME DES SABLES, présente une nouvelle situation insolite qui lui permet de philosopher sur la condition humaine. Si le propos reste assez ambigu, la réalisation occasionne pourtant plusieurs scènes remarquables par leur construction et leur beauté plastique. Une intrigue secondaire s'intègre assez mal dans l'ensemble cependant, et le dialogue prend parfois beaucoup trop d'importance. L'interprétation est très valable.
Texte : Robert-Claude Bérubé