Remarquable

The Daydreamer

Name: Daydreamer, The
Director: Jules Bass
Genre: Conte
Duration: 100 min.

É.-U. 1966. Conte de Jules Bass avec Paul O'Keefe, Jack Gilford, Margaret Hamilton. Parti à la recherche d'un jardin magique, une jeune garçon fait plusieurs rêves merveilleux où il rencontre d'étonnants personnages. Habile mélange de personnages réels et d'animation. Inventif et charmant. Chants et danses agréables.

The Daydreamer (The Daydreamer)

Général

É.-U. 1966. Conte de Jules Bass avec Paul O'Keefe, Jack Gilford, Margaret Hamilton.

Parti à la recherche d'un jardin magique, une jeune garçon fait plusieurs rêves merveilleux où il rencontre d'étonnants personnages. Habile mélange de personnages réels et d'animation. Inventif et charmant. Chants et danses agréables.

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Genre :

Conte

Année :

1966

Durée :

100 min.

Réalisation :

Jules Bass

Scénario :

Arthur Rankin Jr.
D'après l'oeuvre de Hans Christian Andersen

Photographie :

Daniel Cavelli
Tadahito Mochinaga

Musique :

Jules Bass
Maury Laws

Pays :

États-Unis

Distributeur :

SVbiz

Interprètes :

Paul O'Keefe
Jack Gilford
Margaret Hamilton
Ray Bolger

Fils d'un cordonnier de village, le jeune Chris a tendance à laisser voguer son imagination. À l'insu de son père, il part à la recherche d'un jardin magique. Il ne va pas très loin et se heurte vite à un garde-chasse revêche, mais son aventure lui donne l'occasion de faire quelques rêves merveilleux où il rencontre une petite sirène, des tailleurs qui fabriquent des vêtements invisibles et une fille pas plus grosse qu'un pouce.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Jules Bass et Arthur Rankin Jr. ont formé équipe dans les années 1960 dans le but de produire des films d'animation pour la télévision et le cinéma. THE DAYDREAMER est fondé sur un procédé baptisé "Animagic", conçu pour donner vie à des marionnettes. Les acteurs alternent ainsi avec des pantins au long du récit. Le jeune héros est censé représenter le célèbre écrivain Hans Christian Andersen et ses rêves sont l'illustration transposée de quelques-uns de ses contes. Le résultat d'ensemble est plus candide que vraiment fantaisiste et les procédés d'animation ne sont pas des plus sophistiqués.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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