Oh Dad, Poor Dad, Mama's Hung You in the Closet and I'm Feeling so Sad

É.-U. 1966. Comédie de Richard Quine avec Rosalind Russell, Robert Morse, Barbara Harris. Nouvellement installée aux Barbades avec son fils et son défunt mari qu'elle transporte dans un cercueil, une veuve jette son dévolu sur un commandant fortuné. Satire peu convaincante adaptée d'une pièce d'Arthur Kopit. Valeur comique inégale. Réalisation colorée mais vite monotone. Interprétation vaine.

Oh Dad, Poor Dad, Mama's Hung You in the Closet and I'm Feeling so Sad (Oh Dad, Poor Dad, Mama's Hung You in the Closet and I'm Feeling so Sad)

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É.-U. 1966. Comédie de Richard Quine avec Rosalind Russell, Robert Morse, Barbara Harris.

Nouvellement installée aux Barbades avec son fils et son défunt mari qu'elle transporte dans un cercueil, une veuve jette son dévolu sur un commandant fortuné. Satire peu convaincante adaptée d'une pièce d'Arthur Kopit. Valeur comique inégale. Réalisation colorée mais vite monotone. Interprétation vaine.

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Genre :

Comédie

Année :

1966

Durée :

87 min.

Réalisation :

Richard Quine

Pays :

États-Unis

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Rosalind Russell
Robert Morse
Barbara Harris

Mme Rosepettle s'installe aux Barbades avec son fils de 25 ans, Jonathan, qu'elle traite comme un bambin et son défunt mari qu'elle transporte dans un cercueil. Elle jette son dévolu sur le commandant Roseabove dont elle guigne la fortune. Jonathan est attiré par une jeune délurée qu'il finit par étrangler. Le commandant épouse la veuve et meurt peu après. La terrible femme repart alors avec son fils et deux cercueils.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La pièce d'avant-garde de Kopit n'a pas gagné beaucoup à être transposée au cinéma. La réalisation se confine à aligner des excentricités et des absurdités dont la valeur comique n'est guère évidente. Il s'agit pourtant d'une production importante située dans des décors élaborés et qui réunit une équipe chevronnée; le résultat n'en est que plus décevant. Les interprètes se démènent en vain pour animer des pantins.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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