En voulant fabriquer un remède contre le cancer, des savants donnent naissance à des bêtes monstrueuses. Point de départ laborieux. Scènes finales réussies. Suspense assez soutenu. Interprétation adéquate.
Spécialiste des films d'horreur, Terence Fisher semble plus à j'aise avec Dracula et Frankenstein qu'avec les monstres qu'il présente ici. Les scènes finales sont tout de même réussies et pleines d'une véritable tension. De plus, la photographie est souvent très belle en particulier dans des scènes de sous-bois à l'automne. Peter Cushing joue avec son flegme habituel et Carole Gray s'effraie joliment.
Texte : Robert-Claude Bérubé