Danger à Tanger (Tecnica di una spia)

Name: Danger à Tanger
Director: Alberto Leonardi
Genre: Drame d'espionnage
Released: 2010-06-16 16:18:04
Duration: 88 min.

It. 1966. Drame d'espionnage de Alberto Leonardi avec Tony Russel, Fernando Cebrián, Erika Blanc. De Copenhague au Maroc en passant par Lisbonne, un agent secret traque les auteurs du vol d'un chargement d'uranium. Production de série se limitant à une suite d'épisodes confus et interchangeables. Réalisation sans invention particulière ni talent défini. Interprétation à peine supportable.

Danger à Tanger (Tecnica di una spia)

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It. 1966. Drame d'espionnage de Alberto Leonardi avec Tony Russel, Fernando Cebrián, Erika Blanc.

De Copenhague au Maroc en passant par Lisbonne, un agent secret traque les auteurs du vol d'un chargement d'uranium. Production de série se limitant à une suite d'épisodes confus et interchangeables. Réalisation sans invention particulière ni talent défini. Interprétation à peine supportable.

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Genre :

Drame d'espionnage

Année :

1966

Durée :

88 min.

Réalisation :

Alberto Leonardi

Pays :

Italie

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Tony Russel
Fernando Cebrián
Erika Blanc
Conrado San Martin

L'agent secret Alan Miller est chargé de retrouver les auteurs du vol d'un chargement d'uranium. Son enquête le mène de Copenhague à Lisbonne, où, à l'aide d'un déguisement, il pénètre dans la maison d'un certain Otis. Il y trouve des indices qui le conduisent sur les cotes du Maroc. Fait prisonnier par Otis, Miller va être soumis à des expériences scientifiques, lorsque la police lance contre le repaire du criminel une attaque massive. Une espionne russe libère l'agent secret qui vient à bout d'Otis.

L’AVIS DE MEDIAFILM

On connaît la recette de ces films d'espionnage fabriqués en série dans les studios italiens. Étant donné le point de départ de l'enquête du héros et son triomphe final, il s'agit de remplir l'intervalle avec suffisamment de bagarres, de poursuites et de scènes de séduction pour arriver au temps normal d'un long métrage. Cela se fait ici sans invention particulière comme sans talent défini dans une suite d'épisodes confus et interchangeables. L'interprétation est à peine supportable.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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