Trois centurions parviennent à triompher de fanatiques meurtriers et à les livrer à l'armée romaine. Puéril et invraisemblable. Mise en scène médiocre. Interprétation pauvre.
Cette histoire rocambolesque n'a d'autre but que de fournir à trois athlètes genre Monsieur Univers l'occasion de faire étalage de leur force musculaire. Chaque épisode du récit n'a de raison d'être que dans le combat de catch qui le termine. Tout cela fait bien puéril, sans compter que, pour les auteurs, la vraisemblance est le moindre des soucis. La mise en scène se déroule cahin-caha, à coup de clichés, et le jeu des interprètes se réduit à celui, bien connu, des lutteurs de l'arène.
Texte : Robert-Claude Bérubé