Des commandos norvégiens sabotent une usine travaillant pour les nazis. Exploits authentiques reconstitués avec des fioritures fictives. Scènes d'action bien menées. Interprètes de valeur.
Ces exploits authentiques ont déjà été portés à l'écran avec plus de sobriété et de vraisemblance dans le film LA BATAILLE DE L'EAU LOURDE, en 1947. Les fioritures fictives qu'on a ajoutées ici au sujet nuisent à la construction du film et en alourdissent le rythme. Reste que les scènes d'action sont présentées dans des paysages d'une grande beauté et retiennent l'attention. L'interprétation est assez superficielle.
Texte : Robert-Claude Bérubé