Remarquable

Le Tonnerre de Dieu

Name: Tonnerre de Dieu, Le
Director: Denys de La Patellière
Genre: Comédie dramatique
Duration: 91 min.

Fr. 1965. Comédie dramatique de Denys de La Patellière avec Jean Gabin, Lilli Palmer, Michèle Mercier. Un vétérinaire à la retraite se fait le protecteur d'une jeune prostituée. Scénario artificiel. Mise en scène conventionnelle. Bons interprètes.

Le Tonnerre de Dieu (Le Tonnerre de Dieu)

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Fr. 1965. Comédie dramatique de Denys de La Patellière avec Jean Gabin, Lilli Palmer, Michèle Mercier.

Un vétérinaire à la retraite se fait le protecteur d'une jeune prostituée. Scénario artificiel. Mise en scène conventionnelle. Bons interprètes.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1965

Durée :

91 min.

Réalisation :

Denys de La Patellière

Scénario :

Denys de La Patellière
Pascal Jardin
D'après le roman de Bernard Clavel

Photographie :

Walter Wottitz

Musique :

Georges Garvarentz

Montage :

Claude Durand

Pays :

France
Italie
Allemagne

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Jean Gabin
Lilli Palmer
Michèle Mercier
Robert Hossein
Georges Géret
Nino Vingelli
Emma Danieli
Daniel Ceccaldi
Ellen Schwiers
Louis Arbessier
Paul Pavel

Brassac, vétérinaire à la retraite, misanthrope et bourru, noie ses idées noires dans l'alcool. Lorsqu'il a trop bu, il ramène à son château clochards et chiens perdus, au désespoir de sa femme. Un jour, c'est une prostituée, Simone, qu'il recueille et qu'il aide à se réadapter. Celle-ci découvre peu à peu le bon coeur de son protecteur et sa présence entre les deux époux ramène un peu de soleil au foyer. Le mariage de Simone avec un fermier voisin redonnera enfin au vieil homme la joie de vivre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec un Jean Gabin vieillissant et visiblement fatigué, ce film n'est plus du cinéma de papa, mais de grand-papa où l'on navigue allègrement en plein conformisme. L'auteur a jeté ici en vrac tous les éléments et tous les poncifs qui ont fait jusqu'à présent la popularité de sa vedette sans faire aucun effort pour approfondir situations ou personnages. Les mots d'auteurs et les procédés les plus usés tiennent lieu d'analyse et de ressort dramatiques. Gabin «gabinise» plus que jamais, ce qui n'est pas peu dire.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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