Après le meurtre de sa mère et sa fiancée, un comte perd la raison. Mise en scène pauvre. Photographie sombre et terne. Rythme incertain. Suspense nul. Interprétation embarrassée.
Les meurtres succèdent aux meurtres dans cette histoire macabre racontée avec un manque total d'ingéniosité et d'art. La mise en scène est pauvre, la photographie sombre et terne, le rythme incertain et le suspense nul. Franco Nero, alors à ses débats, apparaît plutôt mal à l'aise et ses partenaires ne font rien pour l'aider.
Texte : Robert-Claude Bérubé