Un danseur français, Marius Petipa, devient le directeur de corps de ballet du théâtre impérial de Moscou. Style académique. Bons numéros de ballet. Interprétation convaincue.
Cette évocation du père du ballet moderne se présente dans un, style académique mais n'est pas pour autant dépourvue d'intérêt. La dernière partie portant sur la création du ballet "La Belle au Bois dormant" est d'emblée la meilleure. Dans l'ensemble, la mise en scène est assez lourde et la couleur fade ne rend pas justice aux scènes à grand déploiement. Les danses et ballets sont bien réglés et Gilles Ségal met de la conviction dans son incarnation de Marius Petipa.
Texte : Robert-Claude Bérubé