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Deux Heures à tuer

Fr. 1965. Drame policier de Yvan Govar avec Pierre Brasseur, Michel Simon, Catherine Sauvage. En attendant un train, un journaliste enquête sur les agissements d'un maniaque. Théâtre filmé. Rythme lent. Photographie grise. Très bons interprètes.

Général
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Deux Heures à tuer (Deux Heures à tuer)

Général Général

Fr. 1965. Drame policier de Yvan Govar avec Pierre Brasseur, Michel Simon, Catherine Sauvage.

En attendant un train, un journaliste enquête sur les agissements d'un maniaque. Théâtre filmé. Rythme lent. Photographie grise. Très bons interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Bernard Dimey
D'après la piéce de Vahé Katcha
Photographie :
Musique :
Montage :
À la gare d'Auvernaux, des personnages divers s'efforcent à tuer le temps en attendant le train pour Paris. La conversation s'engage sur la présence, dans la région, d'un maniaque qui s'attaque aux femmes. Un journaliste essaie, par ses questions, d'éclaircir l'affaire. Il découvre ainsi des malhonnêtetés dans la vie des personnages qui l'entourent, mais ne peut, malgré ses soupçons, démasquer le criminel. En fin de compte, c'est lui qui meurt assassiné par un des voyageurs qui redoutait ses indiscrétions.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film modeste se ressent visiblement de ses origines théâtrales. On y retrouve, rigoureusement appliquée, la règle des trois unités. La lenteur du rythme est sans doute voulue pour permettre au spectateur de vivre à l'unisson des personnages, dans cette petite gare de province où le temps semble s'être arrêté. Le film n'est pas sans défauts et la photographie est souvent grise, mais le jeu des interprètes compense en bonne partie les faiblesses de l'ensemble.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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