Fr. 1965. Comédie de moeurs de Jean Aurel avec Michel Piccoli, Elsa Martinelli, Anna Karina. À peine séparé de sa maîtresse, un dentiste don juan se lance dans de nouvelles conquêtes. Adaptation peu convaincante d'un roman de Stendhal. Réflexion artificielle sur les relations homme-femme. Premier sketch bien enlevé. Interprètes jouant avec une certaine aisance.
À peine séparé de sa maîtresse, un dentiste don juan se lance dans de nouvelles conquêtes. Adaptation peu convaincante d'un roman de Stendhal. Réflexion artificielle sur les relations homme-femme. Premier sketch bien enlevé. Interprètes jouant avec une certaine aisance.
Malgré ses références aux réflexions de Stendhal, ce film s'en tient à une conception bien artificielle des relations entre l'homme et la femme. Les auteurs font effort d'esprit pour alléger des diversions qui risquent à tout moment de tomber dans le vaudeville ou la grivoiserie. Si le premier sketch est assez bien enlevé, le reste n'évite pas les répétitions et les facilités. Les interprètes jouent avec une certaine aisance.
Texte : Robert-Claude Bérubé