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Agent 3S3, passeport pour l'enfer (Agente 3S3, Passaporto per l'inferno)

Name: Agent 3S3, passeport pour l'enfer
Director: Sergio Sollima
Genre: Drame d'espionnage
Duration: 99 min.

It. 1965. Drame d'espionnage de Sergio Sollima avec Giorgio Ardisson, Georges Rivière, Barbara Simons. Un agent secret est chargé de dépister le chef d'un gang international. Piètre imitation de James Bond. Récit simpliste et invraisemblable. Interprétation conventionnelle.

Agent 3S3, passeport pour l'enfer (Agente 3S3, Passaporto per l'inferno)

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It. 1965. Drame d'espionnage de Sergio Sollima avec Giorgio Ardisson, Georges Rivière, Barbara Simons.

Un agent secret est chargé de dépister le chef d'un gang international. Piètre imitation de James Bond. Récit simpliste et invraisemblable. Interprétation conventionnelle.

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Genre :

Drame d'espionnage

Année :

1965

Durée :

99 min.

Réalisation :

Sergio Sollima

Scénario :

Alfonso Balcazar
Sergio Sollima

Photographie :

Carlo Carlini

Musique :

Piero Umiliani

Montage :

Bruno Mattei
Teresa Alcocer

Pays :

Italie
France
Espagne

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Giorgio Ardisson
Georges Rivière
Barbara Simons
Seyna Seyn
Franco Andrei
Fernando Sancho
Dakar
Leontine May
Béatrice Altariba

L'agent 3S3 du C.I.A. est chargé de dépister un certain Dvorak, chef d'un gang international de criminels. Son enquête le mène à Vienne où il rencontre Jasmine, fille de l'homme qu'il recherche. Mise en confiance, celle-ci finit par lui révéler que son père est à Dakar. 3S3 s'y rend aussitôt pour apprendre que Dvorak a été assassiné par son principal lieutenant. Aidé de Jasmine, il parvient à régler son compte au nouveau chef.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Poursuivant la série des imitations des films de James Bond, les auteurs de cette coproduction n'ont réussi qu'à fabriquer un plagiat indigeste, sans fantaisie comme sans imagination. L'invulnérabilité du héros et le déroulement du récit, présentés de façon simpliste et à coups d'invraisemblances, rendent difficile sinon impossible d'entrer dans le jeu. La mise en scène de Simon Sterling (de son vrai nom Sergio Sollima) est des plus conventionnelles et l'interprétation ne rachète rien.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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