Le fils d'une calife détrôné lutte contre l'usurpateur. Récit puéril. Décors artificiels. Aucun effort de renouvellement. Interprétation médiocre.
On retrouve ici non seulement le scénario d'une production similaire datant de 1944, ALI BABA AND THE FORTY THIEVES, mais encore plusieurs images du même film, ce qui a sans doute diminué les frais de tournage. Le reste se déroule dans des décors de carton-pâte, sans le moindre effort de renouvellement et surtout sans cette note d'humour qui aurait peut-être aidé à faire passer l'ensemble. L'interprétation est d'une rare médiocrité.
Texte : Robert-Claude Bérubé