Le Prince Charmant. Le Bâtard de la reine-mère. Aimer c'est mourir un peu. Satire sans subtilité. Effets chargés et répétitifs. Jeu outrancier des interprètes.
La satire dispensée dans ce film ne se targue pas de subtilité: les personnages sont caricaturés à outrance et les effets comiques sont appuyés et répétitifs. Les allusions au film BLANCHE-NEIGE de Walt Disney, dans le premier sketch, constituent la seule trouvaille vraiment originale. Le jeu des interprètes se porte vers l'excès comme tout le reste et Annie Girardot se montre particulièrement fertile en grimaces.
Texte : Robert-Claude Bérubé