Un attaché d'ambassade s'éprend d'une jeune fille qui dirige une bande de voleurs. Ensemble artificiel. Numéros de bravoure mouvementés. Longueurs. Interprètes de talent.
Le succès de L'HOMME DE RIO constituait une tentation à laquelle Christian-Jaque n'a pu résister. On retrouve ici tous les ingrédients du genre, mais mal dosés et agencés de façon artificielle. Des numéros de bravoure audacieux et mouvementés n'empêchent pas l'ensemble de traîner en longueur et la machine de tourner souvent à vide. La scène finale est réussie cependant et Jean Marais demeure un excellent cascadeur.
Texte : Robert-Claude Bérubé