Un caniche intelligent s'attache aux pas d'un musicien. Début original. Intrigue mince et fade. Réalisation banale. Interprètes sympathiques.
Lourdement amorcée, l'action s'accroche un moment à une idée originale: les prouesses d'un chien savant et affectueux qui aime les bons vins. Malheureusement le reste est mince et fade et la longue séquence télévisée n'apporte rien de neuf. Tony Curtis et Christine Kauffmann sont sympathiques dans leur genre et «Monsieur Cognac» est bien dressé.
Texte : Robert-Claude Bérubé