On place des interprètes amateurs dans des situations artificielles et on les laisse improviser un dialogue hésitant. On récolte ici et là des prises de vue documentaires sur des événements intéressant les étudiants. On réunit le tout par un montage plus ou moins cohérent. Et on appelle cela un film. C'est vraiment le règne de l'à-peu-près. De l'ensemble se dégage une intrigue confuse qui n'avance que par à-coups.
Texte : Robert-Claude Bérubé