Une femme d'âge mûr explique à la police pourquoi elle a tué son jeune amant. Critique sociale diluée dans un scénario maladroit. Réalisation faible. Bons interprètes mal employés.
Ce drame de moeurs est situé par l'auteur dans le cadre de la dolce vita d'une certaine haute société madrilène. Cette volonté de critique sociale se dilue dans la description maladroite de mornes ébats. La réalisation manque de nerfs et l'interprétation est terne dans l'ensemble.
Texte : Robert-Claude Bérubé