Un savant expérimente sur lui-même un sérum qui permet à l'oeil de voir à travers les matières solides.
Le point de départ du film est prometteur et les trucages sont, en général, assez réussis. Mais l'intrigue tombe vite dans les clichés du genre. Certains développements paraissent nettement inventés pour corser l'aventure et rendent l'histoire peu convaincante. Malgré quelques bonnes séquences, Roger Corman semble moins inspiré par ce sujet que par les contes d'Edgar Poe. Dans le rôle du savant harcelé, Ray Milland est en perte de vitesse.
Texte : Robert-Claude Bérubé