Un voleur se cache sous l'identité d'un comte pour mieux effectuer ses cambriolages. Péripéties assez bien imaginées. Mise en scène conventionnelle. Jeu assuré de C. Pollock.
Le personnage mis en scène par Bernard Borderie ne ressemble guère au triste héros imaginé par Pierre-Alexis Ponson du Terrail; on songerait plutôt à un émule d'Arsène Lupin. Les péripéties sont assez bien imaginées, mais leur déroulement manque un peu de nervosité. Les décors et les costumes aident à créer une ambiance d'époque convaincante. Channing Pollock a de la prestance dans son rôle de gentleman-cambrioleur.
Texte : Robert-Claude Bérubé