Le bourreau de Venise poursuit de sa haine le fils du doge, faussement accusé de trahison. Péripéties stéréotypées de style mélodramatique. Réalisation routinière. Interprétation embarrassée.
Avant d'en arriver à la reconnaissance finale, il faut supporter plusieurs péripéties stéréotypées dont l'ordonnance est plus ou moins logique. L'aventure prend par moments des tons de mélodrame et les personnages sont présentés sans aucune espèce de nuances. Venise sert de cadre à l'action, mais sans conférer à l'ensemble de charme particulier. Les couleurs sont ternes et les interprètes ne semblent guère à leur aise.
Texte : Robert-Claude Bérubé