Un écolier rêve que son père est le roi Dagobert qui lutte pour couronner son fils à Reims. Pitreries sans finesse. Mise en scène lourde. Bons comédiens mal employés.
En dépit de la présence de Fernandel et de Gino Cervi, transformés pour la circonstance en bon roi Dagobert et en saint Éloi, ce canular étriqué et lourd ne soulève guère d'intérêt. Le film se résume en un mélange de pitreries et de grimaces dans lequel le bon goût et l'esprit de finesse ont bien peu à voir. Quelques belles images ici et là ne sauraient compenser la pauvreté de l'ensemble.
Texte : Robert-Claude Bérubé