Un ancien bandit tente de renoncer à sa vie tumultueuse. Rythme haché. Style prétentieux. Interprétation souvent artificielle.
Le réalisateur Sergio Gobbi est bien plus intéressé à jouer avec la caméra qu'à raconter une histoire. Ses effets viennent continuellement nuire à la compréhension du sujet et des personnages. Le rythme haché qu'il cherche à donner au film contribue encore à agacer le spectateur. Trop de prétention a nui ici à un thème somme toute assez conventionnel, mais susceptible d'intéresser. L'interprétation est plutôt artificielle.
Texte : Robert-Claude Bérubé