Remarquable

La Belle Vie

Name: Belle Vie, La
Director: Robert Enrico
Genre: Drame psychologique
Released: 2010-05-24 13:17:42
Duration: 110 min.

Fr. 1963. Drame psychologique de Robert Enrico avec Frédéric de Pasquale, Josée Steiner, Lucienne Hamon. Les difficultés de la vie courante d'un jeune couple. Sujet intéressant, mais inabouti. Traitement décevant privilégiant la recherche aux dépens de la rigueur dramatique. Grande maîtrise technique. Jeu dégagé des interprètes.

La Belle Vie (La Belle Vie)

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Fr. 1963. Drame psychologique de Robert Enrico avec Frédéric de Pasquale, Josée Steiner, Lucienne Hamon.

Les difficultés de la vie courante d'un jeune couple. Sujet intéressant, mais inabouti. Traitement décevant privilégiant la recherche aux dépens de la rigueur dramatique. Grande maîtrise technique. Jeu dégagé des interprètes.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1963

Durée :

110 min.

Réalisation :

Robert Enrico

Scénario :

Robert Enrico
Maurice Pons

Photographie :

Jean Boffety

Musique :

Henri Lanoë

Montage :

Denise de Casabianca
Jacqueline Meppiel

Pays :

France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Frédéric de Pasquale
Josée Steiner
Lucienne Hamon
Gregori Chmara
Odile Geoffroy
Nane Germon
Françoise Giret
Nicole Desailly
André Zibral
Marc Eyraud
Jacques Seiler
Jean-Pierre Lituac
Pierre Frag
Odette Piquet
Roger Jacquet

Récompenses

Après avoir terminé son service militaire en Algérie, Frédéric rentre à Paris et se marie avec Sylvie, une amie de jeunesse. Le couple passe sa lune de miel à Monte-Carlo, puis se trouve aux prises avec les difficultés de la vie. Frédéric ne parvient pas à obtenir un emploi stable, alors que Sylvie attend la naissance d'un enfant. Quand le vent aura tourné et que tout ira bien, Frédéric sera rappelé sous les drapeaux.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Robert Enrico s'était fait remarquer dans les festivals par ses courts métrages. Il est ici assez décevant dans son premier long métrage. Le sujet du film ne manquait pourtant pas d'intérêt. Mais le traitement qu'on lui a fait subir sent trop la recherche aux dépens de la rigueur dramatique. Notons toutefois une sûreté remarquable dans les prises de vues en extérieurs. Le jeu des interprètes est passablement dégagé.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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