En 1863, un homme tente d'améliorer les conditions de travail faites aux mineurs. Adaptation d'un roman d'Émile Zola. Mise en scène soignée. Manque de souffle et de vigueur. Interprétation inégale.
En dépit d'une mise en images soignée et d'une reconstitution d'atmosphère assez réussie, l'auteur ne parvient pas à créer l'impact dramatique que requiert le sujet ni même à éviter complètement le mélo. L'ensemble manque de souffle, de vigueur et de mouvement. Jean Sorel n'a rien du type révolutionnaire et le jeu des autres interprètes est très inégal.
Texte : Robert-Claude Bérubé