Sous prétexte sans doute de dérouter le spectateur, Hanin, à la fois scénariste et metteur en scène, a tellement compliqué son récit qu'il devient presque impossible de s'y retrouver. Une accumulation de poncifs et des personnages on ne peut plus conventionnels viennent encore alourdir le passif du film. Il faut toutefois signaler la qualité de la photographie et l'interprétation de Daniel Sorano.
Texte : Robert-Claude Bérubé