Fr. 1962. Drame sentimental de José Bénazéraf avec Michel Lemoine, Monique Just, Sylvia Sorrente. Des intrigues amoureuses troubles se nouent et se dénouent entre un pianiste, une chanteuse et une patronne d'auberge récemment veuve. Oeuvre prétentieuse et ratée. Intrigue insignifiante et confuse. Dialogue pseudo-philosophique faussement sentencieux. Rythme d'une lenteur indicible. Photographie soignée. Acteurs livrés à eux-mêmes.
Des intrigues amoureuses troubles se nouent et se dénouent entre un pianiste, une chanteuse et une patronne d'auberge récemment veuve. Oeuvre prétentieuse et ratée. Intrigue insignifiante et confuse. Dialogue pseudo-philosophique faussement sentencieux. Rythme d'une lenteur indicible. Photographie soignée. Acteurs livrés à eux-mêmes.
L'intrigue se déroule avec une lenteur indicible, accompagnée d'un dialogue pseudo-philosophique faussement sentencieux. La confusion règne bientôt dans tout le film, et les acteurs ont vraiment l'air de se demander ce qu'ils viennent faire là. Seule la photographie possède quelque qualité, mais elle ne peut à elle seule cacher le vide du scénario. Il s'agit en somme d'un film prétentieux et raté.
Texte : Robert-Claude Bérubé