En guise de représailles contre un attentat, les Nazis exigent l'exécution de 320 otages. Ensemble artificiel. Mise en scène et interprétation satisfaisantes.
Les auteurs, sans doute sincères dans leur propos de stigmatiser les atrocités de la guerre, n'ont pas su éviter une certaine grandiloquence qui donne à l'ensemble un caractère souvent artificiel. La mise en images dénote toutefois du métier et l'interprétation est satisfaisante.
Texte : Robert-Claude Bérubé