Remarquable

Journal intime (Cronaca Familiare)

Name: Journal intime
Director: Valerio Zurlini
Genre: Drame psychologique
Duration: 110 min.

It. 1962. Drame psychologique de Valerio Zurlini avec Marcello Mastroianni, Jacques Perrin, Sylvie. À l'occasion de la maladie de son frère, un homme prend conscience des liens d'affection qui les unissent. Style intimiste d'une pudeur exemplaire. Climat mélancolique. Interprétation remarquable.

Journal intime (Cronaca Familiare)

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It. 1962. Drame psychologique de Valerio Zurlini avec Marcello Mastroianni, Jacques Perrin, Sylvie.

À l'occasion de la maladie de son frère, un homme prend conscience des liens d'affection qui les unissent. Style intimiste d'une pudeur exemplaire. Climat mélancolique. Interprétation remarquable.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1962

Durée :

110 min.

Réalisation :

Valerio Zurlini

Scénario :

Mario Missiroli
Valerio Zurlini
D'après le roman de Vasco Pratolini

Photographie :

Giuseppe Rotunno

Musique :

Goffredo Petrassi

Montage :

Mario Serandrei

Pays :

Italie

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Marcello Mastroianni
Jacques Perrin
Sylvie
Valeria Ciangottini
Salvo Randone
Serena Vergano
Marco Guglielmi
Franca Pasut
Miranda Campa
Nino Fuscagni
Marcella Valeri

Récompenses

À la mort de leur mère, Enrico et Lorenzo sont élevés séparément, l'un dans la pauvreté, l'autre dans l'aisance. Parvenu à l'âge adulte, Enrico retrouve son jeune frère à Florence. Son père adoptif étant ruiné, Lorenzo doit faire face à la vie sans avoir la préparation suffisante. Bientôt, il est victime d'un mal mystérieux. Enrico l'assiste dans ses derniers moments et comprend enfin quels liens d'affection l'attachaient à ce frère mal connu.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dans cette oeuvre intimiste à trois personnages, les sentiments des protagonistes sont révélés avec une discrétion et une pudeur exemplaires. L'auteur maîtrise les éléments de son film et les ordonne habilement dans la création de l'atmosphère désirée. Un rythme lent, une couleur volontairement sourde, un décor dépouillé contribuent à la mélancolie de l'ensemble, une symphonie plastique sur un ton d'adagio. Les interprètes sont remarquables d'intériorité.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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