La vie privée et les amours d'Hitler. Récit à la psychologie simpliste. Ensemble pénible. Réalisation et interprétation médiocres.
Cette façon détestable de regarder l'histoire fait penser à la conduite d'un voyeur placé devant le trou d'une serrure. L'ensemble est pénible et, ce qui n'aide pas, mal réalisé et mal interprété. Si Hitler avait été le personnage ridicule qu'incarne ici Basehart, le monde n'en aurait jamais entendu parler.