La brève et morne existence du fils de Napoléon qui conserva toujours le culte de son père. Ensemble froid et artificiel. Mise en scène somptueuse. Jeu sensible de B. Verley.
Malgré une mise en scène, des décors et des costumes d'une grande somptuosité, cette histoire de Napoléon II laisse plutôt indifférent. L'ensemble est froid et artificiel. La séquence finale de la mort de l'Aiglon renferme toutefois une certaine valeur d'émotion. Le jeune Bernard Verley, dans le rôle titre, fait montre de talent, mais il manque évidemment de métier.