Grâce à sa force herculéenne, Ursus sauve une princesse des projets perfides d'un tyran. Scénario banal. Réalisation quelconque. Interprétation médiocre.
Ursus n'est qu'un autre de ces colosses dont le cinéma italien fait une forte consommation. L'intrigue suit fidèlement les sentiers ravinés par les productions du même genre et toutes les péripéties sont prévisibles longtemps à l'avance. Le héros joue avec une allure de robot qui n'aide guère à lui porter de la sympathie.
Texte : Robert-Claude Bérubé