The Trials of Oscar Wilde

Name: Trials of Oscar Wilde, The
Director: Ken Hughes
Genre: Drame biographique
Duration: 122 min.

G.-B. 1960. Drame biographique de Ken Hughes avec Peter Finch, Yvonne Mitchell, John Fraser. En 1892, alors qu'il est au sommet de sa popularité, le dramaturge Oscar Wilde est accusé d'homosexualité. Approche théâtrale mais intéressante. Reconstitution minutieuse de l'époque victorienne. Bonne caractérisation des personnages. Composition convaincante de P. Finch.

The Trials of Oscar Wilde (The Trials of Oscar Wilde)

Général

G.-B. 1960. Drame biographique de Ken Hughes avec Peter Finch, Yvonne Mitchell, John Fraser.

En 1892, alors qu'il est au sommet de sa popularité, le dramaturge Oscar Wilde est accusé d'homosexualité. Approche théâtrale mais intéressante. Reconstitution minutieuse de l'époque victorienne. Bonne caractérisation des personnages. Composition convaincante de P. Finch.

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Genre :

Drame biographique

Année :

1960

Durée :

122 min.

Réalisation :

Ken Hughes

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Saguenay

Interprètes :

Peter Finch
Yvonne Mitchell
John Fraser

En 1892, alors qu'il est au sommet de sa popularité, le dramaturge Oscar Wilde est accusé par le marquis de Queensbury d'entretenir des relations homosexuelles avec son fils, Lord Alfred Douglas. L'écrivain entame un procès en diffamation dont la conclusion lui est défavorable. Il est ensuite lui-même poursuivi pour mauvaises moeurs. A une première audience, le jury n'arrive pas à s'entendre sur un verdict, mais la reprise de la cause aboutit à une condamnation. Après une peine de prison, Wilde doit s'exiler.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Réalisée en même temps qu'un autre film sur le même sujet, OSCAR WILDE, cette production prestigieuse est exploitée au Canada avec dix-sept ans de retard. Pour théâtral qu'il apparaisse, le traitement ne laisse pas de susciter l'intérêt tant par sa reconstitution minutieuse de l'époque victorienne que par le soin apporté à la caractérisation des personnages. Sans échapper à une certaine lourdeur, la mise en scène s'avère à la fois fastueuse et précise. Finch offre une composition subtile et convaincante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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